FAQ

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Les raisons de notre agence

L'ASSOCIE IMMOBILIER-73

Parce qu’un projet de vente ou d’achat est un projet complet et global, qui demande du temps et mobilise des compétences et connaissances allant du droit au bâtiment. Nous ne savons pas réparer une voiture ; nous ne nous targuons pas de faire du pain ou d’opérer à cœur ouvert. Par contre, nous connaissons les règles liées à la transaction immobilière, nous avons les soutiens et maîtrisons tout un panel d’outils pour mener à bien votre projet dans les meilleures conditions.

Parce que nous avons à cœur d’être présentes pour vous, d’être disponibles pour vos questions et enjeux, et de vibrer avec vous à chaque étape de votre projet. Sachant l’impact financier, mental et émotionnel, qu’une vente ou un achat immobilier peut avoir, nous voulons être un appui solide pour vous offrir une vision globale, à 360°.
Nous nous entourons de partenaires de confiance pour offrir des collaborations posées et sérieuses : courtiers, maîtres d’œuvres, diagnostiqueurs ou artisans, nous avons un carnet de partenaires approuvés que nous serons heureuses de solliciter pour faire avancer votre projet immobilier en toute sérénité.

Nous accompagnons vos projets immobiliers, qu’ils soient choisis ou subis. Nous aimons suivre vos évolutions de vie et nous voulons les soutenir avec vous ! Nous avons plaisir à retrouver nos clients au fil des naissances, mutations, ambitions récompensées…

La bienveillance, de toutes nos forces et avec toute notre âme !
La transparence également : nous croyons que la clarté est le meilleur allié de tous vos projets. Que ce soit pour le suivi, le déroulé, les services ou nos honoraires, les choses doivent être limpides pour être faciles.
Les avis de nos clients parlent pour nous !

Laurine et Emilie, 2 agentes dûment diplômées à votre service ; accompagnées de notre bras droit en agence pour mener à bien et suivre de près tous vos projets !

Laurine, forte de 4 ans d'expérience dans le monde de l’immobilier après un solide parcours académique via une double licence de droit général et droit immobilier. Elle sera parfaite pour accompagner vos projets d’investissement : sa formation de juriste, mais aussi les années sur les chantiers familiaux et les années d’alternance dans différentes branches de l’immobilier lui ont forgé une palette de compétences diversifiées et solides.
Son expertise vous aidera aussi bien à tirer du câble promptement qu’à réfléchir bien plus loin que le bout du nez pour optimiser vos impôts !

Émilie, quant à elle, possède un parcours riche en accompagnement client : 7 ans dans l’immobilier transactionnel à Nancy, qui ont été précédés d’une qualification d’artisan d’Art validant un savoir-faire et la haute qualité d’un travail en façonnage du papier, dans le monde du mariage : les gros événements plein d’émotions, elle maitrise. Sa formation originelle ? un master en Arts, axé sur l’Histoire de l’Art et de l’Architecture et la philosophie…
En bref, Emilie aime le patrimoine, les challenges, le design, l’urbanisme, et a acquis une expertise solide du marché local, et plus spécifiquement nancéien urbain. Sincèrement humaine et bienveillante, proche de ses clients, et vous serez choyés par son accompagnement riche, pointu, chaleureusement soigné.

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Les services de l’Associé

Achat - Vente - Investissement !
Notre métier est la transaction, pour vous accompagner dans l’achat ET la vente d’un appartement ou d'une maison. Que ce soit pour vous-même ou pour investir, nous sommes armées et venons accompagnées de divers partenaires choisis, pour défendre vos intérêts et les valoriser au mieux quel que soit votre projet !

Oui, bien sûr !
Il faudra se rencontrer et permettre la visite intégrale de la maison ou de l’appartement à estimer : nous ne faisons pas d’estimation à distance ni sur photo. Pour bien estimer un bien immobilier, il faut maîtriser les éléments techniques aussi bien que contextuels. Rien de mieux que le terrain pour mesurer pleinement les enjeux de la vente !

Concrètement, nous ne demanderons pas de rétribution financière, malgré le temps passé et le déplacement occasionné. Cependant, une estimation est un travail commun : nous vous demanderons quelques documents essentiels pour avoir la meilleure connaissance du projet dans sa globalité. Mais surtout, nous aurons besoin d’un peu de votre temps : d’abord pour nous recevoir afin de découvrir le bien à estimer, puis pour que nous vous rendions notre avis.
Ces RDV sont essentiels et incontournables pour que la collaboration qui en découlerait soit saine et sereine, et nous ne rendrons pas d’avis sans ces temps d’échanges mutuels.

Sauf avec nos partenaires privilégiés, nous avons choisi de rester centrées sur la transaction en laissant cette partie location à nos confrères dont c’est le cœur de métier. Ceci dit, nous développons des relations et collaborations spécifiques avec des gestionnaires choisis afin d’accompagner nos clients sur ce point, au besoin.

Très peu. Chez l’Associé, nous pensons que pour bien faire notre métier, il faut le faire centré sur des compétences et une expertise avérées. Nous aimons vos histoires, nous aimons vos projets, mais nous savons aussi que créer ou céder une entreprise est une aventure extrêmement importante, aux enjeux bien différents de ceux d’un projet particulier.

Non ! A nouveau, notre métier est la transaction, ce qui diffère bien de la gestion. Et encore une fois, nous pourrons vous aiguiller vers des confrères légitimes en cas de besoin.

Nous avons choisi la simplicité : nos honoraires sont calculés sur le prix de vente, à hauteur de 5%. Cette méthode au prorata nous paraît la plus juste pour chacun, puisqu’elle ‘pèse’ pareillement sur tous les projets.

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L'administratif, ensemble :

les CONTRATS, mandat, compromis, états datés

Un mandat est un contrat bilatéral qui engage le vendeur -ou l'acheteur- et l’agence. Il précise explicitement notamment
- le type de collaboration -accompagnement ou représentation-,
- la durée et les conditions de l’engagement mutuel, généralement 3 mois reconductibles,
- le montant des honoraires dûs à l’agence, et par qui ils seront dus,
- l’objet du contrat -vente ou recherche-,
- le type de bien concerné par le contrat – maison en pleine propriété ou lot de copropriété = appartement, précise le nombre de pièces, les annexes ou parcelle etc.

Le mandat est rédigé par l’agence, généralement signé par le vendeur et l’agence, et est alors un mandat dit ‘de vente’.
Mais ce peut également être un mandat ‘de recherche’, et ce sera alors l’acquéreur qui confie à l’agence ses besoins, ses attentes et critères prix, surface, secteur. Les honoraires à percevoir seront pareillement déterminés.

Généralement par le vendeur, puisque c’est légitimement lui qui confie la mission de vendre son bien à l’agence. Mais dans certains cas spécifiques, les honoraires pourront être mis à la charge acquéreur, pour des raisons fiscales notamment.
C’est un point qui sera en tout cas toujours déterminé sur le mandat à l’origine de l’affaire, et il est interdit de changer la répartition des honoraires à posteriori ! Vendeurs, il convient donc d’étudier votre situation avec l’agence pour choisir la charge honoraire la plus judicieuse selon votre situation ! Contactez-nous pour en savoir plus.

Une fois que la transaction est actée, chez le notaire. Eh oui, nous ne sommes payées qu’au résultat probant ! Tant que l’affaire n’est pas aboutie, nous ne serons pas rémunérées, c’est aussi simple que cela – quand bien même nous aurions investi des moyens sur votre projet : s’il n’aboutit pas, nous ne rentrerons pas dans nos frais engagés.

Nous avons choisi de faire simple : 5% du montant de la transaction, quelle qu’elle soit. Ces honoraires amortiront l’investissement réalisé en amont de la vente. Ils couvriront ainsi tous les coûts en communication, en déplacements, en prestations de services photos notamment, et en temps passé par les agentes et leur bras droit, pour mener votre affaire à son terme, pour commercialiser, présenter, négocier, rédiger les contrats, s’assurer du bon déroulé administratif, parfaire les engagements avant d’enfin pouvoir signer la vente.

Le mandat est effectivement généralement convenu pour une durée de 3 mois irrévocables, à l’issue desquels il est soit reconduit tacitement pour une durée maximale convenue ensemble, soit rendu caduc par contrat. Cette durée d’irrévocabilité pourra cependant être modulée sur contrat et selon les situations particulières.
Mais pourquoi 3 mois ?

Pour que nous puissions travailler pleinement ensemble et œuvrer sur la totalité des moyens mis en œuvre :
- publication en avant-première pendant 48 à 72h à 7 jours, pour ‘tester’ le positionnement,
- puis ouverture de la commercialisation avec potentiel ajustement de l’annonce au besoin ;
- recueil des appels et échanges avec les acquéreurs pour valider les profils et projets.
- Dans le cas où une offre serait formulée, nous réalisons une étude affinée pour le financement, qui permettra de valider l’engagement formalisé.
- offre, acceptation, rédaction du compromis, soumission aux notaires, relecture en agence et signature.
Sans engagement proposé au cours de ces premières semaines de publication, nous révisons ensemble les canaux de communication -remaniement tous les 15 à 20 jours-, faisons le point avec vous et réajustons ensemble le projet, prix, manière de communiquer… jusqu’à parvenir à capter l’attention du bon acheteur.
Bref, nous avons besoin de ces 3 mois par défaut, pour mettre en œuvre toutes ces étapes et conclure la vente comme espéré avec vous !

Un compromis est un avant-contrat de vente. C’est un engagement mutuel et bilatéral du vendeur ET de l’acheteur. Il détermine les droits et obligations de chacun avant que le transfert de propriété ne soit acté par les notaires.
Ce document précède et prépare l’acte notarié. Il précise notamment
- les modalités de la vente (quoi ? combien/pour quel prix ? comment -condition d’occupation du bien- ? dans quel délai ?),
- et fixe les arrangements potentiels entre vendeur et acheteur – pour les répartitions de taxe foncière, d’eau par exemple.

Une promesse de vente est un engagement unilatéral du vendeur envers un potentiel acheteur. Il lie le vendeur, mais pas ou très peu l’acheteur.
Une promesse d’achat n’engage quant à elle que l’acheteur envers le possible vendeur.
Nous préconisons toujours de privilégier le compromis à une promesse, de manière à engager et responsabiliser chacune des 2 parties concernées dans la vente, et d’assurer le plein engagement mutuel.

C’est un document qui ne concerne que les ventes de lots en copropriété (une maison en monopropriété n’est donc pas concernée). Il reprend les états financiers, les sommes dues ou au bénéfice du vendeur, à l’égard de la copropriété. Il précise notamment les finances de la copropriété, ses dettes et créances, il présente les projections et les bilans financiers, et permet d’avoir un bon aperçu de la santé économique de la résidence.

Légalement : pas réellement. Mais il est largement recommandé, et même très souvent attendu par les notaires. Il peut être facturé par le syndic (et l’est, généralement).
Dans le cas des petites copropriétés et si celles-ci tiennent des comptes détaillés, il peut être possible de s’en passer, mais il faut pouvoir avoir une parfaite connaissance des dettes et crédits du vendeur envers la copropriété, et avoir un bon suivi des finances privatives et collectives.

C’est un document qui ne concerne que les ventes de lots en copropriété (une maison en monopropriété n’est donc pas concernée). Il est sollicité par le notaire dans les dernières semaines avant de signer l’acte. Document payant, édité par le syndic, il reprend à nouveau toutes les finances de la résidence, générales autant que celles du copropriétaire vendeur.

Il est indispensable pour que les notaires calculent les frais à régler auprès du syndic afin que les comptes soient ‘purs’ et vierges pour le nouvel acquéreur !

Oui, dans le cadre d’une vente d’appartement ou de tout lot en copropriété (une maison en monopropriété n’est donc pas concernée) Il est demandé par les notaires environ 1 mois avant la date de signature prévue. Il est nécessairement facturé au vendeur par le syndic.
NB : il n’est cependant pas nécessaire de le régler directement, le notaire se charge de le payer lors de la ventilation des fonds, le jour de la vente.

L’achat dure 3 mois !
Il y a d’abord le délai de rétractation : Après avoir signé le compromis, vous avez 10 jours pour changer d’avis, sans frais et sans justification (par lettre recommandée avec accusé réception cependant). C’est la loi, et ça protège l’acheteur !
Pour l’acheteur, si l’achat se fait avec un emprunt, il faut alors obtenir son prêt immobilier :
il faut environ 1 mois à 1 mois et demi pour que la banque étudie votre dossier, donne son accord, et respecte le délai légal de réflexion avant signature du contrat de financement.
Pendant ce temps, le notaire se met au travail : il vérifie tout, diagnostics, servitudes, règles d’urbanisme, hypothèque, et bien sûr il prépare l’acte de vente.
Courent parallèlement toutes les démarches administratives. Certaines vérifications réalisées par les notaires auprès des administrations prennent aussi du temps, comme le droit de préemption de la mairie par exemple, dont l’absence de réponse au bout de 1 mois généralement, vaut accord.
Enfin, il faut que chacun s’organise : c’est le temps pour le vendeur de préparer son départ, et pour l’acheteur d’organiser votre futur emménagement.
Ces 3 mois ne sont pas là par hasard ! C’est pour que tout soit carré, sécurisé, et serein pour tout le monde

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Les points techniques

C’est le Dossier de Diagnostics Techniques (DDT), qui est un ensemble d’informations que le vendeur doit délivrer à l’acheteur.

Les diagnostics immobiliers visent à informer l’acheteur (ou le locataire) de certains aspects du logement présenté. Au nombre de 5 à 8 selon l’âge et les installations de l’appartement ou de la maison, ce dossier est à la charge du vendeur - ou bailleur -. C’est donc un état des lieux techniques, mais qui ne donne aucune obligation de mise en conformité en cas d’anomalies.
Dans le cadre de la location par contre, il peut être nécessaire d’effectuer les travaux pour proposer un logement sécure au locataire.
La durée de validité est variable selon les cas.

Oui, ils sont obligatoires et doivent être réalisés AVANT la mise en vente. Ce sont des informations qui doivent être mises à jour et partagées sur l’annonce.

Il faut donc les faire dès que vous projetez de présenter votre appartement ou maison à la vente.

C’est le Diagnostic Performance Energétique, et c’est un des 5 à 8 diagnostics obligatoires inclus dans le DDT Nécessaire pour la vente de tous les logements, valable 10 ans à partir de son émission. Les critères de calcul ont évolué avec la loi de 2021, et les diagnostics datant d’avant le 30 juin 2021 sont cependant obsolètes et doivent donc être renouvelés!

Le DPE comprend 2 parties essentielles :

1. une classification énergétique de A à G (de bâtis à énergie positive, à passoires thermiques), sur une double échelle consommation VS émission de gaz à effet de serre.

2. un chapitre de *préconisations d’améliorations*

Et c’est là où vous devez porter votre attention : selon les axes d’amélioration proposés, il peut être intéressant d’acheter un logement ‘mal’ étiqueté, car les améliorations sont possiblement faciles à appliquer, et pas forcément très coûteuses.

Petit historique : le DPE a été introduit en 2006. En 2017, il a gagné en importance dans les transactions immobilières, mais ce n’est qu’en 2021 que la loi ‘climat et résilience’ y a associé des *restrictions* pour la mise en location !

Le DPE *n’interdit PAS la VENTE* quel que soit LE classement !

MAIS un audit complémentaire est obligatoire pour toutes les ventes de maisons en pleine propriété classées E F et G (cet audit ne concerne donc PAS les appartements ou logements en copropriété).

Obligatoire en cas de vente d'un logement dont le permis de construire a été délivré avant le 1er  juillet 1997, avec une validité illimitée en cas de constat d’absence (constat à annexer au dossier). Sa validité est ramenée à 1 an seulement pour la vente en cas de présence avérée !
Il mentionne la présence ou l'absence de matériaux ou produits de construction contenant de l'amiante d'un immeuble bâti. Il n’oblige en rien le vendeur à résoudre les éventuels désordres constatés, même s’il est toujours mieux de faire les entretiens nécessaires pour
éviter toute détérioration des matériaux amiantés.

C’est le Constat de Risque d’Exposition au PLOMB.
Obligatoire pour toutes les constructions d’avant le 1er janvier 1949, avec une validité illimitée en cas de constat d’absence (constat à annexer au dossier). Sa validité est ramenée à 1 an seulement pour la vente en cas de présence avérée !
A nouveau, pas d’obligation pour le vendeur de résoudre les éventuels désordres constatés.
Mais il est toujours mieux de faire les entretiens nécessaires pour éviter toute détérioration des matériaux plombés.

Et non ! la loi dite Carrez ne s’applique qu'aux logements en copropriété (appartements) et locaux commerciaux et professionnels. Ne sont donc pas concernées les maisons hors copropriété, les greniers, caves, garages, grange, etc.

Car il n’y a aucune obligation de certification de surface pour la mise en vente d’une maison en monopropriété ! Il n’y a pas de règles légales pour définir la façon de mesurer les volumes dans une maison, et donc pas de cadre précis déterminant les espaces inclus dans les m2 annoncés.

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Les diagnostics des parties communes des copropriétés

C’est le Diagnostic Technique Amiante, qui repère donc la possible présence d’amiante dans les parties communes des immeubles collectifs d’habitation et les immeubles bâtis qui ne sont pas des habitations (bureaux, écoles, …).
Obligatoire pour les immeubles dont le permis de construire est antérieur au 1er juillet 1997.

C’est le Constat de Risque d’Exposition au Plomb, nécessaire pour les immeubles construits avant 1949.

C’est le Diagnostic Performance Energétique Obligatoire pour les immeubles équipés d’un chauffage collectif, et l’obligation est élargie aux immeubles construits avant 2013 jouissant de chauffages individuels. Il est à renouveler tous les 10 ans sauf pour les immeubles ayant été classés A B ou C selon un DPE réalisé après 2021. Il devient obligatoire également : depuis 2024 pour les copropriétés de + de 200 lots, depuis 2025 pour les moyennes et petites copropriétés de 50 à 200 lots en 2026 pour les très petites copropriétés de – de 50 lots. Il est inclus au PPT, lorsque celui-ci a été voté et réalisé. La loi ne prévoit aucune sanction en cas de non-réalisation d'un DPE collectif, de non- souscription à un contrat de performance énergétique ou à l'absence d'un plan de travaux d'économie d'énergie, dès lors qu'une discussion de principe a bien eu lieu et qu'une question a bien été portée à l'ordre du jour de l'assemblée générale.
Mais, dans l'hypothèse où un propriétaire subit un préjudice (par exemple, l'impossibilité de louer ou de vendre son appartement) en raison d'un mauvais classement énergétique de son logement résultant des parties communes ou des équipements collectifs, la responsabilité du syndicat des copropriétaires pourra être engagée. (source, à date du 05/04/2025 : service- public.fr)

Le projet de plan pluriannuel de travaux (PPPT) est une proposition de travaux à réaliser dans les parties communes de l'immeuble. Il est établi en se basant sur une étude de la structure du bâtiment, de ses équipements et éventuellement du diagnostic de performance énergétique (DPE) et/ou du diagnostic technique global (DTG). Il n'a pas encore de caractère obligatoire et nécessite une validation par les copropriétaires lors d'une assemblée générale.

Le plan pluriannuel de travaux (PPT) est un document élaboré par la copropriété pour mettre en place un échéancier des travaux sur une période de 10 ans, notamment pour sauvegarder le bâtiment et son bon entretien. Il correspond au PPPT partiellement ou intégralement voté par les copropriétaires. Il a un caractère définitif qui précise les travaux à effectuer, leur calendrier, et leur financement (souvent par des appels de fonds). Il engage la copropriété à réaliser les travaux sur les 10 prochaines années, conformément aux décisions prises.

Le syndicat des copropriétaires doit mettre en place un projet de plan pluriannuel de travaux (PPPT) à la fin d'une période de 15 ans à partir de la date de réception de l'immeuble, lorsque celui-ci est destination totale ou partielle d'habitation.

Le PPPT est obligatoire :
depuis 2023 pour les copropriétés de + de 200 lots, depuis 2024 pour les moyennes et petites copropriétés de 51 à 200 lots depuis 2025 pour les plus petites copropriétés de – de 50 lots.

Mais il peut y avoir une dispense de réalisation si un diagnostic technique global (DTG) a été réalisé et ne fait apparaître aucun besoin de travaux au cours des 10 années qui suivent son élaboration. Il y aura alors lieu de joindre le DTG aux annexes du dossier de vente.

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Démarches et relevés de compteurs pour l’achat ou la vente d’un bien

Le relevé des compteurs n’est pas réellement obligatoire, mais il est très fortement préconisé lors d’une vente ou même d’une mise en location. 2 raisons à cela :

1. Grâce au relevé des numéros de compteurs, les futurs occupants pourront préparer la mise en service des contrats, dont électricité, gaz s’il y a lieu, et eau pour une maison -. Ce faisant, on évitera toute coupure dans la distribution, pour éviter par exemple le désamorçage de la chaudière en hiver .

A noter qu’en copropriété, l’eau est incluse dans les charges et il n’y a donc pas de démarches spécifiques à faire ici.

2. Avec le relevé des indices, eau + électricité et gaz au besoin, cela évitera tout litige en cas de contestation sur les volumes consommés, à posteriori, et donnera un point de référence en cas de fuite ou de problème ultérieur, pour évaluer la répartition des coûts à définir entre vendeurs, acheteurs, bailleur, locataire ou copropriété etc.

Le relevé est fait par votre agent immobilier, et est à faire au moment de la vente (ou de la mise en location), ou dans les jours qui précèdent. Propriétaires, veillez à ce que les compteurs soient lisibles et accessibles (prévoyez une petite échelle au besoin).

Lors de votre départ ou arrivée, pensez à résilier ou prendre :
- les contrats d'énergie (électricité, gaz, eau si vous êtes en maison),
- le contrat d’assurance
- le contrat internet et téléphonie
En copropriété, sauf par courtoisie, vous n’avez pas de démarches spécifiques à réaliser auprès de votre syndic. Le notaire l’aura notifié du changement de propriétaire et aura fait le nécessaire pour que les comptes du logement soient apurés pour les parties concernées.
Sauf cas particulier, il n’y aura aucune régularisation financière à posteriori !
Enfin, si vous êtes mensualisés pour votre impôt foncier, pensez à STOPPER votre prélèvement automatique, par précaution. Il n’est malheureusement pas rare d’observer une latence entre le changement de propriétaire et le traitement du dossier au centre des impôts, et il sera souvent plus simple de reverser un manque plutôt que de se faire rembourser un trop-perçu !

Au moment de la vente, ou en tout cas dans les jours qui précèdent ou qui suivent. Vous pouvez tout à fait anticiper les résiliations ou reprises de contrats énergétiques, c’est même recommandé.

Mais vous aurez besoin de l’attestation de vente (délivrée par le notaire) pour résilier votre assurance logement !

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